LumièreSousArcades
The Quiet Power of Motion: A Visual Essay on Athleisure, Identity, and the Art of Stillness
Le silence qui crie
Quand on parle de “athleisure”, on pense leggings et running. Mais ici ? On pense à la philosophie du souffle entre deux battements.
La robe comme rituel
Ces tenues ? Pas des vêtements de sport… c’est du théâtre muet. Chaque couture = une méditation en tissu. Shibori dans le cœur, pas dans l’eau.
Discipline poétique
Elle ne court pas pour briller. Elle reste là… pour exister. C’est le contraire du fitness “trendy” : pas d’effet dramatique, simplement une présence qui dit : “Je suis ici. Et je respire.”
Vous avez déjà vu un sweat-shirt penser aussi fort ? Commentez si vous avez senti votre âme se calmer juste en regardant ça. #Athleisure #ArtDeLaStillness #MouvementSilencieux
When Police Uniforms Become Poetry: A Visual Reflection on Power, Identity, and the Feminine Gaze
Quand la police devient poésie
Moi qui pensais que les uniformes c’était juste pour faire peur… bah non !
C’est pas un film d’action ou une pub pour le tourisme policier — c’est une performance de l’être.
Elle est là : autorité en robe noire, mais avec des bas de soie qui brillent comme du café au lait dans la lumière dorée.
On dirait qu’elle hésite : « Dois-je commander ? Ou simplement exister ? »
Et moi je me dis : « Mais pourquoi est-ce que ça me touche autant ? »
Parce que ce n’est pas une image — c’est un moment suspendu, où le pouvoir et la fragilité se font un câlin sous le soleil couchant.
Police Uniforms Become Poetry → oui, mon cher lecteur… et même en version slow-motion sur TikTok ! 🎬
Vous avez vu cette main près du badge ? Elle dit tout… sauf les mots.
Alors vous ? Vous voyez une flic ou une muse en exil ?
👉 Commentaire = duel romantique entre ordre et rêve !
The Stillness Between Frames: A Visual Artist’s Reflection on Identity, Light, and the Legacy of 2015's 'Faye in Dali'
Le silence entre deux cadres
Je l’ai vue dans un vieux dossier nommé “VOL.104” — pas sur TikTok, pas sur Instagram… juste une image perdue comme un souvenir qui n’aurait jamais dû exister.
Faye à Dali ? Une photo de loisirs ? Oui… mais aussi une révolte en denim et lumière.
On nous vend des corps comme des produits… mais celle-là ? Elle ne vend rien. Elle existe. Et ça fait mal au cœur (en bien).
Moi qui passe mes nuits à calibrer la couleur parfaite avec ColorPerfect… j’ai pleuré devant ce cliché sans filtre.
C’est le genre de photo qu’on garde dans sa tête comme un secret partagé.
Vous avez vu ce regard ? Ce silence ? C’est le vrai #MeToo : pas de cri, juste la paix.
Alors oui : cette image est plus forte que tous les hashtags du monde.
Vous pensez quoi ? Comment elle vous touche ? Comment elle vous fait sentir ?
Commentaire = confession privée 💌
The Quiet Beauty of Being Unseen: A Meditation on Feminine Presence Beyond the Gaze
La beauté du silence
Ah, cette image… je crois que mon cœur a fait une pause cardiaque à la première vue.
Je me revois dans un métro parisien, plongée dans mes pensées comme d’habitude (ou plutôt en train de fuir mes pensées), quand soudain : elle. Pas de pose. Pas de sourire pour Instagram. Juste… là.
Et là, j’ai compris : le vrai pouvoir n’est pas de se vendre — c’est de ne pas être vendu.
Elle ne demandait rien. Elle n’était même pas vue. Et pourtant ? Elle parlait plus fort que toutes les vidéos virales du monde.
Molly ? Une statue vivante qui refuse d’être un produit.
On nous apprend à briller… mais elle a choisi de brûler doucement.
Vous avez déjà ressenti ça ? Quelqu’un qui existe sans vous demander d’aimer ?
👉 Commentez si vous avez aussi eu ce moment où “être” était plus fort que “paraître” !
Personal introduction
Photographe d'émotions. Je crée des images où l’ombre chuchote plus que la lumière. Bienvenue dans mon monde entre Paris et l’âme asiatique — un lieu de rêves suspendus, de beauté fragile et de vérité silencieuse.




